Témoignage d’un mineur selon la 1c3

 

  1. Comme d’habitude une dure journée de mineur, toujours faire les mêmes choses et encore déterrer le charbon, encore pousser les berlines. Plus encore le grisou. A cause du marteau piquer, mon mari souffre de surdité, ma fille est atteinte de silicose et moi rien pour l’instant, juste une inondation à cause de l’eau. Je suis remonté avec un cheval. J’ai failli me faire abattre par les pattes arrières du cheval, quel travail ! Pour juste être payé 2 francs moi, 75 cents ma fille et 5 francs mon mari pour un total de 7 francs 75 cents. Quel salaire !

Par Lise-Laure et Lydie

  1. Aujourd’hui on a visité mon ancien travail, la mine. Je me rappelle des 8 étages qu’il y avait mais maintenant on peut qu’en visiter 2 car les autres sont remplis d’eau. Je me suis rappelée du vieux temps avec les autres femmes, hommes et enfants. Je suis partie de la mine pace que les femmes et les enfants mineurs de 14 ans ne pouvaient plus travailler, c’était dans les années 50, je ne me rappelle pas très bien. C’était très bien et en plus le guide explique les choses tels quel, les objets, les matériaux… C’était super.

 

Par Barbara

 

3. Après ma dernière cigarette, mangé ma chic de tabac, je donnais ma plaque métallique contre une torche, monta dans la cage avec les 31 autres. Je descendis à 12 m/sec puis j’arrivais au premier bureau le moins profond (30 m). Je buvais mon café avec du sel, c’est pour ne pas perdre de l’eau du corps, je mourrais de déshydratation. Voilà le travail commence….

Par Elisa, Diane et Doris.

 

4. Quand on a choisi d’être mineur, c’est prendre des risques car on peut mourir de graves maladies à cause de la poussière de charbon ou de poussière de pierre. De plus, il y a des mineurs de tous les âges : hommes, femmes et enfant. 

Par Joacquim

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One Thought to “Témoignage d’un mineur selon la 1c3”

  1. Nathalie Pierre

    Beaux textes! En effet, la vie de mineur n’était pas de tout repos. C’était(c’est encore le cas en Chine aujourd’hui)un travail à haut risque. La famille dépendait de ce mineur. En Belgique, il fallait descendre dans les entrailles de la terre pour extraire le charbon au risque de sa vie. En 1956, à Marcinelle près de Charleroi, plus de 250 mineurs ont péri (sont morts)suite à un coup de grisou et l’éboulement de la mine.
    Bonne découverte dans la suite de vos visites.

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