Jean XXIII’s got talent !!!

Dans cette rubrique, nous allons vous présenter des élèves du Collège qui ont un grand talent et une passion à partager. Vous découvrirez donc des sujets très variés qui pourraient aller de la danse à la photographie, du dessin à la musique et, qui sait, peut-être aussi au tricot. En tout cas, cette rubrique vaut la peine d’être lue, puisqu’on ne sait jamais sur quoi on peut tomber…

Notre première interview sera celle de Layla Hensmanns, une élève de 5t1, qui fait de la GRS au niveau international et qui va nous en parler un peu …

eXXpressIIIons : Merci d’avoir accepté de participer à cette interview… Alors, la GRS c’est quoi comme sport ?

Layla : C’est un mélange de ballet classique et de gymnastique, le but est de faire des enchaînements de difficultés et de montrer un maximum de souplesse. Il y a cinq engins : la corde, le ballon, les massues, le cerceau et le ruban…

E : À quel âge as-tu commencé et pourquoi ?

L : J’ai commencé à six ans. En passant au centre Mounier, j’ai vu des filles faire des choses impressionnantes et je voulais faire comme elles, donc j’ai commencé…

E : Combien d’entrainements as-tu par semaine par semaine et où ?

L : Jusqu’à l’année passée, j’avais six entraînements par semaine donc vingt-trois heures. Mais cette année, comme je suis en cinquième, j’ai diminué, je ne fais plus que quatorze heures et c’est à Schaerbeek, à l’école Fernand Blum.

E : Qu’est-ce qui te motive à continuer ?

L : Ce qui me motive à continuer c’est l’ambiance du club et le groupe qu’on a formé au fil du temps. Ça fait dix ans maintenant.

E : Avec quels engins préfères-tu faire la GRS ?

L : Les rubans.

E : Faut-il avoir des caractéristiques spécifiques pour être bon dans ce sport ?

L : Il faut avoir du courage, de la rigueur, de la grâce et de la souplesse.

E : As-tu déjà participé à des concours ou des galas ? En international ?

L : Oui, j’étais dans un groupe international et je participais à des concours en Russie, en Hongrie, dans des pays de l’Est et d’autres encore en Europe.

E : Est-ce que tu voudrais devenir professionnelle ?

L : Cela ne m’aurait pas déplu mais en Belgique c’est impossible et l’école passe quand même avant tout.